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Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 12/10/2020 dans toutes les zones

  1. on est complètement dans une crise des systèmes de santé collectivistes, bien plus qu'une crise de virus machin ou bidule. Par ailleurs, le truc dont aucun MSM ne parle, ce sont les fermetures de lits/services/etc de partout, où on entend uniquement couiner l'ignoble et usuel "manque de moyens" etc, alors qu'en réalité, la raison n°1 de la fermeture de lits/services etc, c'est parce que ce système de santé soviétique ne trouve plus de personnel (ni toubibs, ni soignants). Il y a des soignants, payés 150€/semaine !! nonobstant le risque. Ces gens là s'équipaient avec des sacs poubelles en mars 2020 (bonjour l'image/estime de soi que cela renvoie) ... et, surprise hallucinante, ils ne sont pas intéressés à remettre le couvert ni les mêmes sacs poubelles. (En 1990 suite à une fracture de guibole j'avais déjà passé la nuit entière dans un couloir d'urgence APHP sur un brancard à coté de poivrots hurlants).
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  2. Pas avec cette attitude.
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  3. Ce qui est bien avec le télétravail, c'est que les télétravailleurs qui ne viendront plus qu'une journée sur leur lieu de travail ne pourront plus traiter de fainéants les enseignants qui sont présents deux ou trois jours dans leur lycée.
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  4. C'est simplement pour signaler que je suis en 100% télétravail depuis 6 ans, en situation de grande autonomie, et qu'avoir des collègues est finalement une chose assez récente pour moi, ce qui fait que la règle pour travailler est intériorisée de longue date (en se fixant des heures, des objectifs, une routine pour certaines taches etc). Décompresser passe par le forum, qui est en quelque sorte ma machine à café C'est un peu plus pénible en ce moment, car pour s'astreindre à cette discipline qui suppose de rester à peu près seul dans sa cellule la plupart du temps, j'ai pris l'habitude de voyager beaucoup, de me déplacer pour aller voir des amis, des contacts etc., ce qui est bcp moins possible pour toutes les raisons qu'on connaît (plus un changement dans ma vie personnel qui me colle un peu plus à la maison que d'habitude).
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  5. Il y a aussi des raisons qu'on a déjà évoqué. - on ne se présente pas à un poste de chef (tête) ... avec comme stratégie le laissez-faire. C'est incompréhensible pour énormément de gens - le laissez-faire est déjà dur à piger en temps paisibles, il est encore moins compréhensible face à une crise - l'essence d'une organisation de commandement c'est d'ordonner des trucs, même si ça n'a ni queue ni tête, même si ça revient au final juste à agiter les bras Bref, ama c'est inscrit/gravé assez profond dans le système. ça risque pas de changer facilement.
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  6. autre piste https://www.libertynation.com/so-long-oregon-conservatives-plan-idaho-escape/ (proposée aussi pour d'autres états)
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  7. Oui mais comme ça a été dit a plusieurs reprises, si c'est pour importer leurs conneries et leurs votes stupides ailleurs ça ne fait que reporter le problème 500km plus loin et pour dans 20 ans
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  8. Quanta magazine a réalisé une promenade mathématique qui aborde des sujets tels que l'hypothèse de Riemann, la géométrie algébrique, les mouvements browniens, le problème des trois corps, etc : Chaque page présente des animations (interactives ou non), et aussi souvent des liens vers des articles qui traitent du sujet :
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  9. Et Gégé est arrivvééé :
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  11. 90 % c'est une très, très mauvaise nouvelle. Je savais que les séquelles étaient courantes, je connais un Grand Ancien qui l'a chopé en Mars et qui se traîne toujours une myocardite à l'heure actuelle (donc 7 mois après), mais je ne pensais pas que ça serait si généralisé.
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  12. Ce serait un plan super sans le petit détail que deux liborgiens dans les commentaires d'un journal vont nécessairement finir par s'engueuler entre eux.
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  13. Oui et non. L'ostracisme pousse les conformistes à ne pas se déclarer. Mais il y a aussi la masse, énorme, de ceux qui pensent malgré tout de cette façon et qui, même devant les faits indéniables, des raisonnements solides, refuseront la remise en question, même en famille/devant un ami de longue date/dans un cercle où il n'y a pas de risque d'ostracisation ; là, ce n'est plus le même phénomène qui joue, mais bien celui de construction de croyances/définition de personnalité. Nous avons tous ce mécanisme qui fait qu'abandonner une position/un point de vue chéri / accepté est extrêmement coûteux (énergétiquement, biologiquement même puisqu'il faut littéralement recâbler son cerveau sur la nouvelle donne) et qui rebute la plupart. Et le coût est d'autant plus fort qu'on est dans une catégorie CSP+ parce que le système de valeur est construit de façon plus profonde. Ces deux phénomènes (pression sociale + coût biologique du changement interne) aboutissent à ce genre de situation.
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  14. Et pourtant il me semble que les catégories CSP+ sont les plus représentées chez les anti-masques et co. Et sur mon linkedin, mes contacts CSP+ ne sont pas politiquement correct.
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  15. On dirait un pays anarchocapitaliste
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  16. Un mélange entre un risque d'ostracisme social inconsciemment intégré, et une admiration issue de l'école pour les élites scolaires et intellectuelles qui dirigent les ministères et les universités.
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  17. Je ne suis pas sûr que c'est de l'arrivisme. C'est juste que quand tu es CSP+ et que tu as une parole publique, c'est extrêmement dur de sortir du discours du parti de la raison.
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  18. Si vous vous cotisez pour un abonnement au monde...
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  19. BROKE: les gueux avaient une vie de merde, contrairement aux aristos WOKE: les femmes avaient une vie de merde, contrairement aux hommes BESPOKE: tout le monde avait une vie de merde
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  20. "votre vieux c15 diesel pour apporter 3 caisses de légumes bio et local depuis la périphérie en centre ville est trop con et trop pulluant. Je l'ai donc défoncé a coup de masse mais c'est pour le bien de tous, merci"
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  21. Probsble, d'autant que je lis qu'elle était très heureuse là-bas. On aurait dû la leur laisser, ça aurait été une belle punition pour eux, et un soulagement pour nous.
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  22. Franchement peu de chance que ça s'améliore. Ce qu'on voit aujourd'hui n'est que l'aboutissement d'une crise de la recherche en cours depuis très longtemps. La politisation de la science, la volonté de la rendre "ouverte", "citoyenne", "écologique"... bref d'y introduire des chevaux de Troie idéologiques, la fétichisation de certaines pratiques sans aucun recul possible, la critique d'autres (comme le peer-review) sans en comprendre les avantages, l'invasion de la tour d'ivoire par des journalistes ou des gens random via une vulgarisation à outrance, des disciplines entières qui ne font que singer l'apparence de la science comme les grievance studies... Le milieu scientifique au mieux ferme les yeux, au pire applaudit et participe activement.
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  23. Tu n'as pas compris mon propos. Je ne dis pas que les entreprises sont toutes rigides et qu'elles ne changent jamais. Bien au contraire d'ailleurs, puisque j'ai dit que beaucoup étaient prêtes à succomber à n'importe quelle mode managériale (ce qui a été démontré également par le courant néo-institutionnaliste autrichien, cf la notion de "mimétisme"). Je rappelle des choses bien connues en théorie du management : La "one best way" en gestion, ça n'existe pas : il n'existe pas de modèle universel de management. Ce n'est pas être relativiste que de dire cela : le management est affaire de contingence. Pour être performant, le choix d'un modèle d'organisation est contingent à son activité et aux caractéristiques de son contexte externe et interne : par conséquent l'adoption par mimétisme du télétravail sera un gain pour certaines organisations, mais une catastrophe pour d'autres. Dans l'emballement général classique autour d'une énième mode managériale, la plupart des gens prennent à tort les progrès techniques ou les bêtes améliorations de procédures (l'introduction d'un nouvel outil de gestion par exemple) pour des innovations managériales. Ce que les gens prennent pour de profonds changement ne sont parfois que "de vieilles boissons dans de nouvelles bouteilles", pour reprendre la fameuse expression de Mintzberg. Àmha, le télétravail n'est qu'un progrès technique : il fonctionnera très bien pour les emplois dont le fonctionnement repose d'ores et déjà sur des méthodes d'organisation proches du télétravail (coordination de tâches "de bureau" individuelles, suivi de tâches réalisées à distance, etc.). La question importante en matière d'innovation managériale n'est pas "comment faire évoluer mes pratiques (mes procédés, mes techniques...) ?" mais "quelle doit être ma philosophie de gestion (renouvellement des modes de pensées) ?" et "quels principes d'action mettre en œuvre ?". Pour introduire un changement d'organisation, il n'est pas nécessaire d’adopter une approche rationaliste (faire appel à un cabinet de conseil) comme tu le dis tout à fait justement : une expérimentation de nouvelles pratiques par tâtonnement peut très bien le faire (et parfois bien mieux), mais à la condition d'être capable de tirer les enseignements des évolutions de pratiques en matière de philosophie de gestion et de principes d'action. Et quand l'expérimentation consiste à faire comme son voisin parce que "c'est ce qui se dit, c'est la voie d'avenir", je doute que ce suivisme soit judicieux et qu'il débouche sur des pratiques contingentes à l'activité. Quand en plus l'expérimentation en question est fortement poussée par l’État, alors mon détecteur à bullshit se met à vibrer.
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  24. Je travaille 100% en ligne depuis 3 ans et demi. Si la situation le permet, il n'y a théoriquement pas de meilleures conditions de travail. On a le temps de réfléchir, on décide quand on travaille, quand on a besoin de se reposer, on peut habiter et voyager où on veut, on choisit aussi le lieu de travail tous les jours ça peut changer (chez soi, au café, au coworking space, avec des amis, sur son téléphone à un festoche), on a beaucoup moins de temps de transport etc. J'ai du mal à croire que fliquer à fond les employés peut aider à la bonne réalisation du boulot à effectuer... Mais de mon point de vue d'employeur je peux facilement voir comment les employés pourraient "trop" profiter de cette situation confortable : faire semblant de travailler pour étendre ses week ends / comme vous avez dit ici finir plus tôt constamment aller chercher ses gamins à l'école ou faire une autre activité (hobby), faire plusieurs boulots remote en parallèle (j'ai une connaissance qui avait 2 boulots remote en même temps + une autre activité qui lui prenait pas mal de temps), ne pas faire des heures stables qui permettent d'être synchronisées avec les autres employés, ne pas faire les efforts de communication pour remplacer la qualité des discussion orales etc. Certains points que j'ai cité mène évidemment à la conclusion qu'il n'y a pas de moyen sûr de connaître la "quantité" de travail fournie par un employé. C'est une notion un peu abstraite (avant c'était défini par "les heures où tu viens au boulot" ce qui est un peu con même si ça a l'avantage au moins d'être clair) et on ne sait jamais qui est productif dans quelle situation et pourquoi (i.e. comment reproduire à la demande cette situation productive). Peut être que finir une heure plus tôt pour prendre le temps d'aller chercher ses gamins à l'école va beaucoup participer au bien être de l'employé de sorte qu'il sera plus productif le reste du temps. Ou alors il pousse le bouchon un peu trop loin, va démotiver ou inciter ses collègues à aussi tirer sur la corde. Peu importe les problèmes pour moi j'en revient toujours à la même conclusion : la relation employé - employeur est une relation de confiance avant tout, et diriger des employés, vérifier leur travail, les faire avancer, s'intéresser à ce qui se passe dans leur vie est un énorme travail quotidien. Si l'employeur / le manager n'est pas prêt à s'investir là dedans il récoltera ce qu'il sème à coup sûr, les employés ne sont pas les seuls à blâmer. Cela veut aussi dire que les coûts non dépensés par le fait de ne pas avoir choisi un travail au bureau, doivent être un peu fléchés vers un meilleur management et être à l'écoute des employés. Aussi se voir de temps en temps peut être très bon pour le moral, trouver de nouvelles idées, se mettre d'accord sur des tâches complexes. Cela peut être partiellement remplacé par les coups de fils ou discussions via webcam mais pas totalement je pense. C'est un gros point noir du 100% télétravail pour moi. Je suis aussi d'accord que cela dépends du type de personnalité, certains n'apprécieraient pas. Mais la façon de travailler change aussi avec le télétravail, et la personnalité peut s'adapter aussi dans l'autre sens. Il y a aussi une grosse différence entre travailler à distance car c'est la meilleure méthode de travail que l'on choisit volontairement et être forcé à travailler en distance à cause des règles "sanitaires". Ça ne doit pas bien se passer pour tout le monde. Le marché du travail et des entreprises étant assez rigide, il a une telle inertie que tes propos semblent raisonnables à court terme. Tu as probablement raison en regardant les entreprises actuelles en statique. Aucune de ces entreprises ne va profondément changer de méthode de travail. Mais des pures players peuvent débarquer et les jarter de leurs niches. Les "situations professionnelles" que tu cites peuvent être redéfinies aussi. Mon point est que ce n'est pas en engageant une entreprise externe spécialisée dans les théories du management que les entreprises vont se réformer. Modulo les problèmes légaux, de nouvelles entreprises vont directement mettre en pratique les intuitions que ses dirigeants ont sur la question du télétravail et vont concurrencer les dinosaures. L'expérience du marché avant l'expérience scientifique J'essayerais de trouver des exemples concrets pour agrémenter mon propos
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  25. Si l'entreprise en question commence à piloter tout le monde au KPI (nombre d'appels / nombre de transformation de lead / whatever) ça devient extrêmement simple pour l'entreprise et extrêmement inhumain pour les employés. J'avais entendu parler d'une boîte française qui vendait un machin pour surveiller ses employés, en gros un remote desktop sur lequel le patron a une vision globale de tous les écrans des employés et peut zoomer sur l'un ou l'autre. c'est absolument horrible. Est-ce différent d'aujourd'hui ? Je continue de penser qu'un télétravail en urgence mal préparé va simplement mener à la ruine à long terme de l'entreprise. Comme je le disais plus haut, une entreprise démarrée et vue comme full remote, ou alors une entreprise qui a vraiment les moyens de se transformer rapidement (Facebook, Google) va bien marcher, mais une grosse boîte française avec la conduite du changement que l'on connait ? Ca va être un massacre.
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  26. Des camps de concentration au Canada (appelés quarantine facility ) ? https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question (c'est un député d'Ontario) En fait ils existeraient deja: https://www.canada.ca/en/public-health/services/publications/diseases-conditions/2019-novel-coronavirus-information-sheet.html Les personnes qui ne s'y conforment pas pourraient être transportées à une installation de quarantaine, se voir imposer des amendes et/ou être emprisonnées. Pour l'instant c'est des hotels réquisitionnés (https://www.cbc.ca/news/canada/canadians-millions-hotel-quarantine-covid-1.5691370) mais mieux vaut rester méfiant....
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  27. Oui, c'est insupportable. J'ai également bossé avec un quelqu'un qui m'appelait sans arrêt et qui s'énervait quand je ne répondais pas dans la seconde. J'ai eu la petite musique de Skype en horreur. Application supprimée. Nous ne bossons plus ensemble.
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  28. Les langues se délient petit à petit : après quelques autres personnalités, l'écrivain Sylvain Tesson dénonce les dérives liberticides. Il s'inquiète du "grignotage des "libertés de détail" qui font le charme de la vie" et des restrictions gouvernementales annoncées comme provisoires : "mais parfois il y a des provisoires qui durent". Il estime que lorsque "le citoyen demande à son État de le materner", "il ne faut pas s'étonner ensuite que l’État vous paterne".
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  29. L'autre problème du remote, et je le vois clairement au bout de quelques mois, est l'implosion de la séparation pro / perso. Je reçois sans cesse des messages de chat après 19h jusqu'à 23h, alors que c'était tabou auparavant. Il va y avoir un sacré backlash à ce niveau chez nous je sens. Les founders sont trop contents de voir que tout le monde est connecté tout le temps, mais je trouve que c'est une fuite en avant dangereuse (dixit un mec qui fait ~50/60h mais qui essaye justement de ne pas trop le montrer aux équipes, paradoxalement). Edit : yeah je sais je suis trop cool avec mes termes english, c'est vraiment top fashion.
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  30. Amen, 1000x amen. Bossé en remote avec un créatif sur ma campagne c'était l'horreur. C'est l'horreur en fait, jamais plus de la vie (si je le peux) je refais cela. Tu perds tellement de temps, de nuances, d'idées, de spontanéité. Concrètement, personne ne fait un call-conf de 5min parce qu'il a eu une idée à la con. Passer à ton bureau pour en discuter ? C'est bien plus probable.
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  31. Apres, nous on bosse sur des projets avec des gens qui sont à Londres, Paris, Lisbonne, NYC, Hong Kong et donc on a quand même une bonne pratique des projets via téléphone. Mais d’expérience, rencontrer les gens en vrai, ça facilite les relations. J’ai quelques exemples de gens qui se comportaient comme d’authentiques connards - notamment des traders mais pas que - qui ont eu un comportement très différent après avoir bu un verre avec eux.
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  32. 1/ Considérer l'humain comme fondamentalement solitaire et considérer comme handicapés ceux qui ont besoin d'un lien social est quand même un sacré renversement de la biologie. 2/ Les liens n'existent pas réellement à distance. L'écrit ou la conf call ne véhiculent pas la qualité et quantité d'information nécessaire (communication non verbale d'un côté, information ou idée à l'improviste de l'autre) et donc limitent la compréhension d'autrui ainsi que l'empathie. Je suis fondamentalement persuadé que la majorité des échecs en entreprise peuvent s'expliquer par un problème de communication entre deux équipes ou groupes qui ont arrêté de se parler convenablement, ce qui créé des incompréhensions, qui entrainent frictions et frustration puis rejet. De plus, de mon expérience, favoriser la rencontre informelle permet d'échanger des idées qui n'auraient pas été échangé en remote, ce qui est extremement précieux à tout point de vues. J'avoue que, après plusieurs expériences de télétravail à 100%, ce n'est pas vraiment mon ressenti, j'imagine que ça dépend de chaque boite. Ah, ça oui, comme ça limite la communication, dans le cas du rapport fournisseurs/client, c'est grandement intéressant et oblige à aller droit au but. Mais... n'est-ce pas monstrueusement anti-spontanéïté, sans compter la perte de concentration quasi-obligatoire liée à tout travail nécessitant une concentration profonde ? 1/ what is geopay? 2/ Cela peut grandement dépendre du choix du type de télétravail. Dans notre cas, par exemple, nous laissons le choix aux employés de s'organiser au sein de leur équipe pour le télétravail (pour tourner au bureau dans le cas d'équipes transverses, ou au contraire pour tous être la en même temps, par exemple), et les jours ne sont pas fixes. Dans un tel cas, il devient très difficile de supprimer des postes de travail étant donné qu'il peut arriver que 100% de la boite soit la une journée. C'est précisement ce qui m'a fait abandonner cette idée que j'avais d'optimiser le nombre de postes pour grandement économiser (bureaux au coeur de Paris...). 3/ Il m'est strictement impossible de me concentrer sérieusement sur autre chose si je suis en conf call. Notez qu'au final je suis grandement partisan d'un télétravail partiel, et qu'un télétravail total ne convient AMHA qu'à une minorité de la population. Personnellement, au bout de 3 jours à bosser chez moi sans personne autour, je commence à parler à mon mur et je deviens fou. Ce qui est trèèèès différent du confinement ou tout le reste de la famille était présent. Malgré tout, de très belles boites sont construites autour du remote de manière totalement pérenne, Gitlab en tête, mais c'est encore différent d'une boîte qui a tout un legacy à transformer et qui a fait ça en 3 semaines au lieu de 3 ans et qui va le regretter dans 1 an. J'aimais beaucoup le modèle hybride offert par Mozilla par exemple : tu bosses d'où tu veux mais on a quand même une place attribuée à un bureau quelque part dans le monde si ça te fait plaisir.
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  33. Arrêtez avec votre one size fits all. Je trouve que les communications via Skype font d’ailleurs beaucoup plus flicage que des échanges informels sur le floor.
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  34. Énième avatar d'une mode managériale qui va agiter le monde professionnel, mais qui sera sans lendemain. Un peu comme la mode de l'open-space il y a une quinzaine d'années. Il y aura ses laudateurs et ses contempteurs. Les uns expliqueront que "c'est l'avenir du travail", les autres expliqueront que "c'est la destruction de l'essence du travail". Amha, la vérité est toute banale et je prédis que les études scientifiques qui ne manqueront pas de porter le sujet (je constate déjà l'emballement des chercheurs en management...) ne feront que confirmer de bonnes vieilles connaissances que l'on a sur l'organisation du travail. Le télétravail accroît la productivité et la qualité dans certaines circonstances de travail. Il obère la productivité et la qualité dans d'autres circonstances. De même on "re-découvrira" qu'il convient à certaines personnes mais pas du tout à d'autres. Bref tout n'est affaire que de contingence. Après une mode passagère et une utilisation exagérée et inadaptée, on reviendra à la raison, et le télétravail ne sera adopté qu'aux situations professionnelles auxquelles il convient... puis on s'adonnera à une nouvelle mode... Next >
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  35. Introverti n’est pas synonyme d’asocial. Et être asocial est un handicap.
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  36. Non c'est pas pareil. Tu peux pas aller prendre une pinte avec des collègues inopinément après le travail. Tu ne peux pas faire une blague en passant, discuter 5 minutes à la machine à café. La motivation n'est pas la même, l'énergie non plus. On est des êtres sociables (enfin la majorité d'entre nous) qu'on le veuille ou non. Ici les espaces de coworking marchent du feu de dieu, et c'est pas à cause de leur connexion internet. Si la solitude est un facteur aggravant de dépression et de suicide ce n'est pas pour rien. Perso les réunions IRL sont 10x fois plus productive que les réunions zoom. Puis la prise de parole est différente également, donc on peut louper des trucs qu'on ne louperait pas IRL. Globalement les échanges sont plus limités online qu'IRL. C'est probablement très bien pour certains, mais pour la majorité ? Je suis sûr que non. J'ai oublié le nom scientifique, mais je crois qu'on s'appelle ça des êtres humains .
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  37. Pour un point de vue plus mathématique, j'avais écrit ça : https://viresinnumeris.fr/comprendre-bitcoin-chaine-de-blocs-et-minage/#preuve-de-travail (si ça peut t'aider ) J'ajouterai que l'ajustement de la difficulté du réseau a lieu tous les 2016 blocs (~ 2 semaines), ce qui a des effets intéressants, notamment le fait que le dernier halving a eu lieu environ 8 mois trop tôt.
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  38. Si tu n'adaptes pas ta difficulté, d'une part comme dit précédemment, tu produis du bloc comme un fou très rapidement, et d'autre part, ça revient à réduire à néant l'importance d'un coût capitalistique pour garantir la confiance dans le système. Il faut comprendre que s'il n'y a pas de difficulté, il n'y a pas d'investissement au bout. Ce qui fait confiance quand on va à la banque, c'est les bureaux, les centaines de petites mains qui font des trucs, la solidité du marbre du bureau du directeur, les jolies plantes vertes, etc. BNP Paribas dans une cahute au fond d'une ruelle sombre, même s'il y a 100% des mêmes services (en ligne par exemple), ça inspire 0 confiance. La difficulté, c'est l'assurance que l'investissement capitalistique augmente et grossit et donc que la peau dans le jeu augmente aussi pour les acteurs qui garantissent le réseau donc qu'ils se comporteront de façon "capitalistiquement rentable". C'est essentiel. Oui, mais c'est vraiment l'aspect capitalistique qui fait la différence entre ça et le reste.
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  39. la ou on doit esperer que les gens un brin liberaux se sortent enfin les doigst du c*l (on peut toujours rever) c'est que la nouvelle saison de morts respiratoires normale arrive, et que la difference cette fois ci c'est que beaucoup des ces gens auront un fragment d'ARN mort estampille SARS Cov-2, et que la liberte a un reel risque de disparaitre
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  40. Wouf, j'allais mettre un commentaire acerbe du genre "qui est cette youtubeuse dont j'ai jamais entendu parlé et dont on se fout" et puis j'ai vu la photo et je suis subitement hyper interessé.
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  41. Si elle était dépressive et suicidaire à ce point, elle aurait trouvé un autre prétexte quoi qu'il en soit de ce sondage en particulier. Il faut regarder la forêt et pas l'arbre.
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  42. On m'a déjà faite cette objection dans le fil "éthique et tac". Ce à quoi je réponds: 1): Le plaisir n'est pas le bonheur. Il y a de mauvais plaisirs, des plaisirs qui rendent malheureux, qui détournent de la vie bonne, etc. 2): Le plaisir pris (potentiellement) au meurtre ne lui retire pas son caractère mauvais. Mener une vie de tueur ne permet pas d'être heureux, de part des causes à la fois internes (culpabilité, peur, etc.) et externes (châtiment pénal). C'est donc immoral. La nature humaine étant un universel, une morale qui s'appuie dessus ne peut pas être subjective.
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