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Que c'est laid, mais que c'est laid.

Je crois que ce qui me choque le plus, c'est la continuité entre le col et le boutonnage, sans angle pour bien délimiter l'un de l'autre. C'est ce détail qui parachève de faire passer à mes yeux tout cardigan pour une serpillère tricotée à la main.

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Que c'est laid, mais que c'est laid.

Je crois que ce qui me choque le plus, c'est la continuité entre le col et le boutonnage, sans angle pour bien délimiter l'un de l'autre. C'est ce détail qui parachève de faire passer à mes yeux tout cardigan pour une serpillère tricotée à la main.

Bah, si tu veux paraître original à peu de frais... Mais, là, tu es quand même un peu ridicule... Un peu comme Rocou et les cravates.

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The Butler est surprenant, on y apprend qu'en 1926 les propriétaires de plantation de coton pouvaient violer ou tuer leurs salariés noirs devant témoin sans aucun soucis. 

 

C'est vrai que c'est un peu excessif.

Le film aurait été plus réaliste en montrant un lynchage où tranquillement les lyncheurs posaient pour la photo commercialisée ensuite en carte postale mais cela c'est une autre histoire.

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Très bien cet article de contrepoints, j'avais bien aimé Walter Mitty, il réinvite à plus de simplicité dans la vie, il invite à être plus flexible, réactif, et suivre un peu plus son instinct.

 

 

Il y a 3 passages qui m'ont plus à titre personnel dans ce film:

 

- Quand Walter Mitty engueule son patron qui veut tous les virer et les traite comme des deaubes, il ne lui rappelle pas que c'est mal de virer les gens comme dans tous les films socialisants d'aujourd'hui, il lui rappelle qu'il comprend que la revue doit fermer et qu'il comprend que son patron lui-même applique des ordres venant du dessus, mais qu'il n'est pas obligé de parler comme du poisson pourri à des gens qui ont travaillé pendant des années pour ce projet.

- Walter Mitty passe par l'Afghanistan, on y voit de magnifiques paysages, des animaux rares et un match de football improvisé avec des autochtones à l'air libre dans un trou paumé entre deux montagnes. Bref il est libre, et dans l'instant suivant le contraste quand il revient aux Etats-Unis et qu'il est retenu par la police des frontières parce qu'il a eu le tort de passer par l'Afghanistan. Je soupçonne une légère dénonciation de la parano sécuritaire ambiante. 

- Quand Walter Mitty se rend au Groenland, il y a toute une odyssée, Il loue une voiture au milieu d'un trou paumé, il va dans un hélicoptère avec un type bourré et doit sauter pour arriver à bord d'un bateau. Je pose la question: mais où sont passées toutes les normes de sécurité et les normes de couverture assurance?  A la poubelle, et ça fait du bien.

 

Voilà, voilà c'est une vision très personnelle du film et peut-être orientée.

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Très bien cet article de contrepoints, j'avais bien aimé Walter Mitty, il réinvite à plus de simplicité dans la vie, il invite à être plus flexible, réactif, et suivre un peu plus son instinct.

 

 

C'est toutafé vrai. C'est ce que je cherchais à expliquer en disant qu'il était en phase avec son temps mais j'ai eu du mal à l'exprimer. Bien que le film soit nostalgique, ce n'est pas du tout un appel à la ringardise et une lutte contre le progrès, bien au contraire. C'est précisément ce qui m'a plu.

 

Vais essayer d'aller voir 12 years cette semaine. Une critique sera indispensable je pense.

 

J'ai vu The Campaign, amusante satire sur les élections US dans un style typiquement US fortement méprisé par l'intelligentsia degôch. Ca date un peu mais c'était instructif. Will Ferrell commence vaguement à être connu en Europe mais on ne se rend absolument pas compte de la célébrité qui est la sienne aux US et des dizaines de millions de dollars de recettes qu'il génère à chaque film.

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Merci encore à VM pour sa critique , qui a de nouveau été bien lue (article n°5 le jour de sa parution).

 

(... et appel discret du sabot aux autres. Si vous avez envie de faire partager vos coups de coeur ou coups de gueule

sur des films. Allez-y, vous rendez service aux lecteurs et à Contrepoints (et à vous-mêmes !) ).

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J'ai vu The Campaign, amusante satire sur les élections US dans un style typiquement US fortement méprisé par l'intelligentsia degôch. Ca date un peu mais c'était instructif. Will Ferrell Dieu commence vaguement à être connu en Europe mais on ne se rend absolument pas compte de la célébrité qui est la sienne aux US et des dizaines de millions de dollars de recettes qu'il génère à chaque film.

 

D'ailleurs dans Very Bad Cops le film fait une petite infographie sur la crise pendant la fin du générique et sur les bailout des banques et du big business. Comme c'était en DL j'ai pas réussi eu de sous-titres, mais si quelqu'un peut voir ce qu'il raconte à la fin ça pourrait éventuellement être intéressant.

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J'ai vu The Campaign, amusante satire sur les élections US dans un style typiquement US fortement méprisé par l'intelligentsia degôch. Ca date un peu mais c'était instructif. Will Ferrell commence vaguement à être connu en Europe mais on ne se rend absolument pas compte de la célébrité qui est la sienne aux US et des dizaines de millions de dollars de recettes qu'il génère à chaque film.

Oh oui, je l'avais vu à sa sortie en France (sous le titre "Moi, Député" : c'était à l'été 2012, hein), avec une bande de gens de ce même forum. C'était plutôt téléphoné (et encore, un tas d'anecdotes américano-centrées ont dû m'échapper), mais au final assez divertissant.
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Oh oui, je l'avais vu à sa sortie en France (sous le titre "Moi, Député" : c'était à l'été 2012, hein), avec une bande de gens de ce même forum. C'était plutôt téléphoné (et encore, un tas d'anecdotes américano-centrées ont dû m'échapper), mais au final assez divertissant.

Ah bah voilà, jme demandais avec qui j'avais été le voir. Pas un chef d'oeuvre car je l'avais noté 2/5.

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Vu hier L'amour est un crime parfait des frères Larrieu. 

 

Après sa prestation remarquable dans La vénus à la fourrure, j'attendais Mathieu Amalric au tournant. Il écope ici aussi d'un rôle sexuellement marqué. Son interprétation m'a encore convaincu (ce ne fut pas le cas de mon voisin). Je trouve qu'il parvient à dégager qqch à l'écran et, même si lui préfère se trouver derrière la caméra, je ne pourrais que lui conseiller de poursuivre son bout de chemin en tant qu'acteur. Il me semble avoir du potentiel pour laisser une trace. Évidemment, son principal défaut réside en la piètre qualité du cinéma français. 

 

L'amour est un crime parfait, par exemple, souffre d'un scénario bateau. La photographie est parfaite, les décors remarquables, mais le charme tombe à la moitié du film : l'histoire est composée des ficelles classiques de la narration, donnant presque un air de déjà-vu à l'ensemble. Un goût de trop peu au final. 

 

N.B. Les amateurs de boobs trouveront quelque plaisir à visionner les trois premières minutes du film. 

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j'ai vu Zulu, avec Orlando Bloom et Forest Whitaker. C'est vraiment tres bien. 

C'est un thriller intense situe dans une afrique du sud qui est loin d'avoir digere l'appartheid.

Il faut bien entendu le voir en VO, rien ue pour l'accent sud africain et le dialecte Africaans, ca vaut le detour.

Quelque scènes un rien violentes rajoute du piment a ce film que j'ai trouve bien ficele, je met juste un petit bémol sur le manuq e de realisme de certainnes scenes mineures.

 

Il parait que le bouquin est vraiment beaucoup mieux et que le film est une mauvaise adaptation, mais quand on pas lu le bouquin on s'en rend tout de suite beaucoup moins compte.

 

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