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Guerre civile culture, IDW, SJW & co


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Citation

a adopté une loi interdisant l’affichage de drapeaux ethniques, religieux, raciaux et politiques, à commencer par le drapeau LGBTQ + sur les propriétés publiques de la ville.

 

J'ai du mal à voir un probleme avec ca ...
(Bien sur rien ne dit que ca n'ira pas plus loin ...)

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  • 3 weeks later...

Le monde devient timbré.

Révélation

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La terrible consommation d'électricité du ventilateur dont il faudra bientôt s'occuper car écocide. Heureusement par une vague de chaleur montant à 40°C vous pouvez bénéficier, grâce à une organisation et une logistique digne d'un régiment, de la fraiche température de 35°C, il ne faudrait tout de même pas que le gueux est la drôle d'idée de souhaiter rester au frais. :icon_non:

À quand l'interdiction du téléviseur-pollueur ?

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Il y a 1 heure, Antoninov a dit :

Article intéressant qui résume l'évolution de la masculinité et ses questionnements...

 

https://www.washingtonpost.com/opinions/2023/07/10/christine-emba-masculinity-new-model/

Tut tut tut. L'évolution de la masculinité, vue par une femme qui n'a probablement aucune idée de ce que c'est que d'être un homme (et ce, indépendemment du fait qu'elle soit noire, ou de droite, ou quelque autre caractéristique que ce soit).

 

Après, si ça se trouve elle raconte des trucs intéressants, mais quand dès les premières lignes je lis ça...

Citation

Some guys — including ones I once knew — just quietly disappeared, subsumed into video games and porn or sucked into the alt-right and the web of misogynistic communities known as the “manosphere.”

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Disons que ce qui est censé constituer un topos est plutôt une manifestation d'ignorance et de superficialité ; et ça ne m'incite pas à continuer à lire. Mais si ça se trouve, des ceusses se dévoueront pour m'assurer que la suite est plus pertinente... ou pas.

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Il y a 2 heures, Antoninov a dit :

Article intéressant qui résume l'évolution de la masculinité et ses questionnements...

 

https://www.washingtonpost.com/opinions/2023/07/10/christine-emba-masculinity-new-model/

 

J'en ai lu la moitié, c'est un ressac de clichés, mots-clefs et concepts foireux, sans grande valeur ajoutée de la part de la journaliste. Je ne vois pas l'intérêt d'une telle lecture, on y a apprend quasiment rien, c'est une simple liste d'influenceurs englobés dans la notion lâche de manosphere et on en tire des conclusions généralisantes qui confortent ses présupposés moraux...

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Si on part du principe que c'est écrit par une prog pour se demander quelle place peuvent avoir les garçons dans un monde prog et comment faire pour que les garçons ne tombent pas du côté conservateur de la force car la société à besoin des hommes, c'est sans doute dans le haut du panier de ce que j'ai lu.

Surtout que c'est souvent totalement méprisé par les progs en général.

 

 

Bien sûr si on est déjà du côté conservateur de la force, cet article est une connerie :D

Même si il y a des points où ils pourraient se retrouver (comme la réhabilitation et le rôle essentiel des pères).

 

 

 

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il y a 1 minute, Marlenus a dit :

Si on part du principe que c'est écrit par une prog pour se demander quelle place peuvent avoir les garçons dans un monde prog et comment faire pour que les garçons ne tombent pas du côté conservateur de la force car la société à besoin des hommes, c'est sans doute dans le haut du panier de ce que j'ai lu.

Surtout que c'est souvent totalement méprisé par les progs en général.

 

 

Bien sûr si on est déjà du côté conservateur de la force, cet article est une connerie :D

Même si il y a des points où ils pourraient se retrouver (comme la réhabilitation et le rôle essentiel des pères).

 

 

 

Je ne me sens pas particulièrement conservateur, le bénéfice de l'article est simplement inférieur au coût 🤔

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15 minutes ago, Pelerin Dumont said:

Je ne me sens pas particulièrement conservateur, le bénéfice de l'article est simplement inférieur au coût 🤔

Je ne sais pas si il y a un bénéfice à en tirer pour nous (participants de liberaux.org).

 

C'est un discours de progs s'adressant à d'autres progs.

Et qui leur explique qu'il y a vraiment un angle mort dans le traitement de la masculinité chez les progs, que non, tous les hommes ne sont pas des grands privilégiés et que pour se construire les hommes ont besoin de modèle masculin. Et que Peterson est plutôt bon là dedans en disant des trucs qui peuvent sembler basique mais qui sont pas cons.

Qu'il faut des figures auxquels les hommes peuvent s'identifier.

 

A partir de là, à mon sens, si tu n'es pas prog, il y a pas de bénéfice spécial à en tirer vu que ton but n'est pas qu'il y ait une bonne entente dans un monde prog entre les sexes.

 

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Je trouve que ce texte n'est pas sérieux. Christine Emba semble considérer en gros qu'après des siècles de masculinité ininterrogée, la désindustrialisation et le libre-échange participent d'une remise en question de la signification de la masculinité, de sorte que tout se passe comme si les hommes venaient de se réveiller de leur sommeil dogmatique à propos du genre. On lit ainsi: "millions of men lack access to that kind of power and success — and, downstream, cut loose from a stable identity as patriarchs deserving of respect, they feel demoralized and adrift. The data show it, but so does the general mood: Men find themselves lonely, depressed, anxious and directionless." La liste de clichés qui ouvre l'article sert d'excuse à ne pas problématiser la spécificité de la situation d'aujourd'hui, s'il y en a une (la question n'étant même pas posée). Au fond, d'ailleurs, pourquoi faudrait-il systématiquement remplacer d'anciens modèles par de nouveaux modèles? Il y a peut-être quelque chose de formateur dans ce questionnement (ou cette "anxiété") à propos du genre. C'est beaucoup plus facile de vivre en pensant: je devrais faire ceci, je ne devrais pas faire ceci, parce que quelqu'un l'a dit. Ce n'est pas un moment historique de remise en question de la masculinité, c'est une étape dans la vie de tout homme. J'espère.

 

Sinon, cette manière de parler des "hommes" est cringe: "I understand the reluctance to spend time worrying about men. And I say that as someone who loves them: as friends, romantic partners and members of my family." On dirait qu'elle parle de son goût pour les concombres, et toutes les façons de le cuisiner. Mais ça, c'est un problème général: plus personne ne sait écrire dans la presse, et tous les articles ont l'air rédigés par des mama bears quadras et végés entre le thé et les cookies.

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il y a une heure, Marlenus a dit :

Si on part du principe que c'est écrit par une prog

Ah non, j'avais vérifié avant d'écrire, l'auteur semble avoir plutôt des credentials de droite (a écrit pour un magazine culturel réputé de droite, et aucun engagement connu à gauche). C'est toutefois loin d'être une garantie de raconter des trucs intéressants, il suffit de voir le dernier virage marketing de Thaïs d'Escufon. Et de fait, autant il est pertinent d'échanger avec des gens de l'autre sexe pour parler des relations entre sexes (aux conditions habituelles d'intelligence, de bonne foi et d'ouverture aux arguments), autant ça n'a aucun sens de permettre à un sexe de définir l'autre (les hommes n'ont pas à dire aux femmes ce que c'est qu'être une femme, et les femmes n'ont pas à dire aux hommes ce qu'est être un homme, parce qu'aucun des deux n'en sait foutrement rien).

 

Il y a bien une poignée de gens qui ont essayé de vraiment comprendre ce que c'est d'être de l'autre côté, et au mieux ils s'en sont tirés avec des cicatrices à vie.

 

il y a une heure, Marlenus a dit :

A partir de là, à mon sens, si tu n'es pas prog, il y a pas de bénéfice spécial à en tirer vu que ton but n'est pas qu'il y ait une bonne entente dans un monde prog entre les sexes.

Ok, ça me va. (Et j'ai donc bien fait de m'en épargner la lecture).

 

il y a 14 minutes, Vilfredo a dit :

Mais ça, c'est un problème général: plus personne ne sait écrire dans la presse, et tous les articles ont l'air rédigés par des mama bears quadras et végés entre le thé et les cookies.

C'est le résultat de l'invasion des profanateurs de bienveillance.

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il y a 26 minutes, Vilfredo a dit :

Lisez Gender Trouble :ninja:

Je préfère lire des gens bien dans leur tête, plutôt que des ceusses qui prennent leurs problèmes personnels pour la norme afin d'éviter d'aller consulter. ;)

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il y a 20 minutes, Vilfredo a dit :

Argument ad feminam 

Pas du tout. Ad insanis, si tu veux, bien volontiers.

 

Il y a des femmes bien plus intéressantes sur la féminité (et il y en avait même une sur la masculinité, mais comme elle a réellement fait l'expérience de passer un an ou deux de l'autre côté, elle a fini par se buter ; et le respect que j'ai pour elle ne fait qu'amplifier le mépris que j'éprouve pour les post-modernistes et autres apôtres du genderfucking queer).

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C’est quand même fou cette psychologisation/psychiatrisation pour discréditer des arguments. Elle ne va pas bien (j’en sais rien d’ailleurs), donc ce qu’elle écrit est nul.

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Provocation/ C’est la stratégie (si on peut appeler ça comme ca) de Peterson mais si on l’applique à Peterson lui même (et il y a de la matière), qu’est-ce qu’on se prend dans la figure… /provocation 

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il y a 14 minutes, Vilfredo a dit :

C’est quand même fou cette psychologisation/psychiatrisation pour discréditer des arguments. Elle ne va pas bien (j’en sais rien d’ailleurs), donc ce qu’elle écrit est nul.

Le drame profond de la psychanalyse, c'est d'être parti d'une vérité, et d'en avoir fait une horreur. 

 

Oui, écrire son mal-être permet souvent de le conjurer ; mais le publier relève souvent de l'indécence (ou du nourjalisme, la frontière est fine). Avoir du succès en le publiant pousse à s'enfoncer toujours plus dans son mal-être (on passe le bonjour à Houellebecq et Moix, entre autres) ; mais surtout, le théoriser comme sain, naturel et universel constitue le stade terminal de la névrose. D'où la maxime bien connue en ces lieux : les militants les plus vocaux relèvent souvent moins d'une idéologie que d'un drame personnel. Et je suis sincèrement désolé que Butler se sente mal dans sa peau, vraiment. 

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Je vois ni le rapport avec la psychanalyse, ni avec l’intérêt de ce qu’elle écrit. Le but de l’analyse, c’est de parler, pas d’écrire (ça s’appelle même the talking cure)

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il y a 20 minutes, Vilfredo a dit :

Je vois ni le rapport avec la psychanalyse

Tu es peut-être un peu jeune pour avoir connu la vogue des ouvrages issus de cures psychanalytiques. C'était un grand classique de Tout le Monde en Parle, entre autres.

 

Par ailleurs, quiconque a fréquenté un psychanalyste sait tout l'écart entre théorie psychanalytique et pratique (parfois pour le meilleur, parfois pour le pire).

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Je ne suis vraiment pas certain que tout ceci soit pertinent. D’une part, Butler écrit une critique plus ou moins informée et développée (selon les livres) d’une certaine forme de psychanalyse (elle ne passe pas à tout le monde en parle), qui s’appuie sur des textes et s’intéresse à des problèmes théoriques. D’autre part, une discussion personnelle , et justement pas théorique, n’a pas d’intérêt pour moi. Je ne crois pas qu’on comprend des choses aux livres en fréquentant ou en s’intéressant à des gens 

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