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Union européenne


Messages recommandés

Cool, plus ces cloportes de l'UE se comporteront comme des parasites, et plus la GB se rapprochera d'une sortie de l'UE.

La fin est proche, on va pouvoir économiser des milliards !

 

L'UK ne sortira pas de l'UE, je suis prêt a parier sans problème que Cameron fera changer quelques détails, avant de dire que il a réformé l'Europe et il appellera à voter oui au référendum.

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Certes mais j'ai aussi l'impression que l'opinion publique britannique est largement moins moutonnière que la française. alors quand les clowns de bruxelles ou strasbourg claquent des millards pour leurs lubies, il y a des chances que Cameron préfère encore le poste de pime minister à celui de député européen.

 

Pour le moment je ne parierai pas ma chemise, mais un référendum sur l'UE est vraiment sur le fil.

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  • 4 weeks later...
  • 1 month later...

 

Le plan que Bruxelles s’apprête à mettre sur la table, mardi 15 décembre, est une véritable bombe, qui marquerait une énorme avancée vers une gestion commune des frontières de l’Union européenne (UE), s’il était adopté par les Etats membres et le Parlement européen.

Il signifierait aussi des abandons de souveraineté qui ne manqueront pas de faire débat. La Commission européenne a en effet l’intention de proposer un règlement visant à créer une véritable agence de gardes côtes et de gardes frontières européenne, constituée de milliers de personnels mobilisables rapidement, et qui, selon nos informations, aurait la capacité de s’autosaisir en cas de menace jugée grave à une frontière de l’Union.

  • Quel est l’objectif de la Commission ?

Il s’agit d’endiguer le flux de migrants provenant pour l’instant essentiellement de Turquie, alors que plus d’un million et demi d’entre eux ont franchi « illégalement », selon la commission, les frontières extérieures de l’Union, et que plus d’un million sont déjà parvenus jusqu’en Allemagne depuis le début de cette année. Pour Bruxelles, l’enjeu est aussi de sauver le traité de Schengen, signé en 1985, instituant la libre-circulation des personnes à l’intérieur de l’Union, depuis menacé en raison de la porosité des frontières extérieures européennes.

  • Le plan de la Commission

Créée en 2004, Frontex, l’« agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des Etats membres », serait rebaptisée et verrait ses pouvoirs considérablement augmentés. Avec des personnels qui vont passer de 400 à 1000, et un corps de réservistes de 1500 agents (composé de gardes-côtes et gardes frontières nationaux ), cette force sera mobilisable en deux ou trois jours en cas de besoin.

Aujourd’hui il n’y a pas de corps de »réservistes » et quand Frontex a besoin de personnel supplémentaire, il sollicite les pays membres et cela prend des semaines. Avec la nouvelle « Agence », les Etats devront mobiliser leurs effectifs quand ils seront sollicités, ils n’auront pas le choix.

Enfin, pour l’instant, Frontex est responsable de la coordination des activités des gardes-frontières aux frontières de l’Union. Elle met déjà à disposition des Etats membres une force de réaction rapide (« RABIT ») composée d’un vivier de gardes frontières dépêchés par les capitales. Mais leur déploiement ne peut intervenir qu’en cas de crise grave et surtout, à la condition que l’Etat membre concerné en fasse la demande expresse.

  • La Grèce, tout particulièrement visée

La Grèce a demandé officiellement l’activation de cette force de réaction RABIT, jeudi 3 décembre, mais après que ses partenaires européens, excédés qu’elle ne surveille pas assez de leur point de vue ses îles de la Mer Egée, en sont arrivés à la menacer d’une exclusion de l’espace de libre-circulation Schengen. La Commission veut que l’Europe se dote d’un outil qui précisément, permettre d’éviter ces cas de figure, où un Etat tarde trop à solliciter l’aide de ses partenaires, ce qui reporte de plusieurs semaines une intervention.

Si la Commission se défend de vouloir remettre frontalement en question la souveraineté des Etats membres en matière de surveillance de leur frontière, le nouveau mode d’intervention qu’elle propose pousse très loin la gestion commune des frontières.

Le corp européen de gardes-côtes pourrait ainsi être déployé sans l’assentiment du pays concerné, suite à une enquête sur le terrain de l’agence et une recommandation de la commission européenne. Cette recommandation serait alors soumise à un groupe d’experts, constitués de représentants des Etats membres. Qui pourront bloquer la proposition, mais a la majorité qualifiée inversée, plus difficile à rassembler. Les réunions pourront être convoquées très rapidement, et se tenir au téléphone. Cette procédure ultra rapide et pour le moins opaque relève de la « comitologie », un mode de décision bruxellois particulièrement décrié, notamment au Parlement européen.

  • Paris et Berlin soutiennent la Commission

Dans un courrier commun soumis aux ministres de l’intérieur des vingt-huit Etats membres réunis à Bruxelles en conseil affaires intérieures et justice, vendredi 4 décembre, la France et l’Allemagne recommandent un renforcement très conséquent de l’agence Frontex. Y compris une capacité de s’autosaisir : « Dans des circonstances exceptionnelles, Frontex devrait également pouvoir prendre l’initiative de déployer sous sa propre responsabilité des équipes d’intervention rapide aux frontières », dit ainsi la lettre commune. Le ministre de l’intérieur Bernard Cazeneuve défend un renforcement des gardes frontières européens depuis le mois d’octobre dernier.

  • Comment ce plan sera t-il accueilli par les autres Etats membres ?

Il devrait susciter un intense débat. Cela fait des années qu’une mutualisation des frontières de l’Union est régulièrement évoquée, mais jusqu’à présent, elle avait toujours été repoussée, notamment par les pays gouvernés par des majorités très nationalistes (Pologne, Hongrie), ou en Italie et en Grèce, régulièrement montrés du doigt pour les déficiences de leurs contrôles aux frontières. « Les pays de Visegrad sont très attachés à Schengen, mais déjà, ils ont fait savoir leurs réticences » croit savoir un diplomate européen.

Selon les derniers chiffres Frontex, communiqués par Bruxelles jeudi 10 décembre, sur 492 000 migrants parvenus sur les côtes grecques entre juillet et novembre 2015, seuls un peu plus de 120 000 avaient été dûment enregistrés. « Les petits pays risquent de se faire la même réflexion qu’avec les mécanismes renforcés de surveillance budgétaire : ils estiment que ce sont surtout eux qui dégustent, les grands pays bénéficiant, de leur point de vue, de bien plus de clémence de la part de Bruxelles », relève un diplomate.

Pour que la proposition de règlement de la Commission soit validée, il doit être adopté par le Conseil européen (les Etats membres), à la majorité qualifiée, et aussi par le Parlement européen. Cela prendra au bas mot des mois.

  • Les autres annonces de Bruxelles : une recommandation pour réinstaller des réfugiés syriens depuis la Turquie vers l’Europe

La Commission pourrait aussi faire une « recommandation », aux 28 Etats membres de l’Union, d’accepter des réfugiés syriens, identifiés comme tels par les Nations unies, directement « réinstallés » depuis la Turquie chez eux. Aucun quota ne sera proposé et, comme son nom l’indique, cette recommandation n’aura aucun caractère obligatoire. Surtout, les réinstallations seraient conditionnées à une réduction « constatée et significative », selon nos sources, du flux de migrants arrivant de Turquie en Europe.

Selon nos informations, le gouvernement Erdogan, qui a signé un accord avec l’UE, s’engageant à réduire le flux de migrants quittant la Turquie pour l’Union, réclamait au début au moins 100 000 « réinstallations ». Etant donné la sensibilité du sujet, la Commission n’évoque plus un seul nombre.

Enfin, la commission propose de mettre en place un office européen de retour, chargé de renvoyer dans leurs pays d’origine ou des pays tiers les migrants déboutés du droit d’asile.

http://www.lemonde.fr/europe/article/2015/12/11/le-projet-de-la-commission-europeenne-pour-mieux-garder-les-frontieres-de-l-ue_4829827_3214.html?xtmc=ue&xtcr=2

 

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  • 1 month later...

ça devient chaud pour l'U.E car l'Angleterre veut fixer la date du réferendum sur le "Brexit", dans moins de 6 mois; alors que Cameron, pour calmer le jeu, évoquait vaguement  2017.

 

Si l'Angleterre sort, c'est le début de l'effondrement.

.

 

 

Le référendum sur le maintien du Royaume-Uni dans l'UE pourrait se tenir avant l'été, selon un ministre britannique, soulignant que la crise migratoire jouait en faveur du "Brexit", autrement dit de la sortie de l'Union

 

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2016/01/15/97001-20160115FILWWW00220-brexit-un-referendum-possible-avant-l-ete.php

 

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ça devient chaud pour l'U.E car l'Angleterre veut fixer la date du réferendum sur le "Brexit", dans moins de 6 mois; alors que Cameron, pour calmer le jeu, évoquait vaguement  2017.

 

Si l'Angleterre sort, c'est le début de l'effondrement.

 

Le plus tôt sera le mieux.

 

Quand l'UE verse 3 milliards à la Turquie pour "retenir" les réfugiés (ce que du reste elle ne fait pas), je peux comprendre que ça agace le contribuable.

 

Vaut mieux avoir une bureaucratie à combattre que deux en mêmes temps.

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Je pense que globalement "les français", "les anglais", "les allemands" n'en ont strictement rien à foutre de l'UE, n'y comprennent pas grand chose si ce n'est qu'ils payent une flopée de technocrates pour faire dieu-sait-quoi. 

 

 Mais bon, on leur a dit que l"UE, ça allait être cool. Donc ils l'ont défendue. Aujourd'hui on leur dit qu'en sortir, ça serait la misère, donc ils veulent pas en sortir. Aussi con que ça. 

 

 Le rêve européen n'a jamais été qu'un rêve minoritaire au sein de l'Europe au fond. 

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 Le rêve européen n'a jamais été qu'un rêve minoritaire au sein de l'Europe au fond. 

 

Je pense que c'est assez vrai. Même sans animosité, si on fait réfléchir les gens, ils n'en ont pas grand chose à cirer, sorti du discours médiatico-politique ambiant "l'Europe c'est forcément mieux".

 

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Je pense que c'est assez vrai. Même sans animosité, si on fait réfléchir les gens, ils n'en ont pas grand chose à cirer, sorti du discours médiatico-politique ambiant "l'Europe c'est forcément mieux".

 

par chez moi  c'est plutot le contraire "l'europe, quelle bande de gros batard"

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Ce serait con quand même, sans les Anglais pour se battre contre la bureaucratie en UE, ça va être en roue libre après.

 

+1, les anglais effectuent le service publique de s'opposer aux idée débiles de la commission pour les autres états trop laches pour s'exprimer et passer pour des anti-européens (Belgique je te vise particulièrement). Sans compter le racisme a peine dissimulé des grands eurocrates lorsque un pouilleux de l'est est en désaccord avec les vue de l'UE, tandis que quand l'UK dit qu'un projet est néfaste, on l'écoute.

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par chez moi  c'est plutot le contraire "l'europe, quelle bande de gros batard"

 

L'Europe oui mais pas les autres pays. Tu trouves pas quelqu'un qui hait tellement les italiens que pour lui, l'Europe c'est non. Disons que dans l'Europe occidentale en tout cas, ça va plutôt bien.

Pour l'est, l'UE c'est une super BERD. Ils risquent pas d'être contre...

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En Espagne la vie sans l'UE ils ne l'imaginent même pas. D'abord pour l'euro et la liberté de circulation des hommes, des capitaux et des marchandises, mais aussi parce que c'est synonyme de démocratie, de paix et de modernité. Les mecs sont encore sous l'influence de la transition après Franco.

J'ai une nouvelle collègue anglaise qui n'est pas de cet avis mais du mien (pas besoin de l'UE pour avoir une monnaie stable et la liberté de circulation, et l'UE brûle du pognon) et c'est assez marrant de voir leurs réactions. Pour eux c'est un horizon indépassable à tel point que c'est l'angle principal d'attaque des unionistes face aux indépendantistes catalans.

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  • 1 month later...

Les Etats rétablissent les contrôles aux frontières pour n'importe quoi :

Le Monde.fr - Pour « éviter les camps “à la Calais” », Bruxelles rétablit des contrôles à sa frontière avec la France

Bruxelles va « temporairement déroger à Schengen » face à la crainte d’un afflux de migrants, dû à l’éventuelle fermeture partielle de la « jungle ».

http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/02/23/la-belgique-retablit-des-controles-a-sa-frontiere-avec-la-france_4870392_3214.html

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 Alala, ce climat de tensions entre nations. A l'époque c'était " Qui veut mes juifs ? Qui veut mes juifs ? Je n'en veux pas !"

 

 Aujourd'hui c'est "Qui veut des arabes, qui veut des arabes ? Je n'en veux plus !".

 

 C'est rigolo. 

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  • 2 weeks later...

Est ce que quelqu'un a suivi de près le dossier commission européenne VS projet de joint venture airbus ariane safran pour tout ce qui est construction et lancement de satellites ?

 

J'ai lu en diagonale un article du figolu, mais il était plutôt moisi, je n'ai pas confiance ..

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Typiquement, ce genre de dossiers est assez sensible et les infos dont disposent les journalistes sont ou bien celles des communiqués de presse des différentes parties, donc sujets à caution, soit de la pure fantaisie.

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Du coup, je suis allé à la pêche sur le site de la commission européenne.

 

Tous les documents liés à l'affaire sont répertoriés ici :

http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:C2016/012/04&from=FR

Le 8 janvier 2016, la Commission a reçu notification, conformément à l’article 4 du règlement (CE) no 139/2004 du Conseil (1), d’un projet de concentration par lequel Airbus Safran Launchers («ASL», France), l’entreprise commune nouvellement créée contrôlée conjointement par Airbus Group SE («Airbus», Pays-Bas) et Safran SA («Safran», France), acquiert, au sens de l’article 3, paragraphe 1, point B ), du règlement sur les concentrations, le contrôle exclusif d’Arianespace Participation SA et d’Arianespace SA (conjointement «Arianespace», France) par achat de l’intégralité de l’actionnariat actuellement détenu par le CNES dans Arianespace.
2.
Les activités des entreprises considérées sont les suivantes:
—   ASL: développement et production de véhicules de lancement dans les secteurs des lanceurs civils et militaires ainsi que de sous-systèmes et d’équipements pour satellites,
—   Arianespace: fourniture de services de lancement à des opérateurs de satellites privés et institutionnels grâce à sa flotte de lanceurs développée par l’Agence spatiale européenne.
3.
Après examen préliminaire et sans préjudice de sa décision définitive sur ce point, la Commission estime que l’opération notifiée pourrait entrer dans le champ d’application du règlement sur les concentrations.


http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=OJ:C:2016:081:FULL&from=EN

Engagement de procédure (Affaire M.7724 — ASL/Arianespace) (Texte présentant de l'intérêt pour l'EEE) (2016/C 81/03)
 
Le 26 février 2016, la Commission a pris une décision d’engagement de procédure dans l’affaire mentionnée ci-dessus, après avoir constaté que la concentration notifiée soulevait des doutes sérieux quant à sa compatibilité avec le marché commun. L’engagement de procédure ouvre une seconde phase d’investigation, sans préjudice de la décision finale, concernant la concentration notifiée. La décision est prise en application de l’article 6, paragraphe 1, point c), du règlement (CE) no 139/2004 du Conseil (1).

 
Le communiqué de presse qui va avec la décision d'engager la procédure :
 

The European Commission has opened an in-depth investigation to assess the proposed acquisition of Arianespace by Airbus Safran Launchers (ASL) under the EU Merger Regulation.

The Commission has concerns that the proposed transaction may result in less innovation and higher prices in the satellite and launch service markets.
Commissioner Margrethe Vestager, in charge of competition policy, said: "A competitive space industry has a crucial role in strengthening the EU's industrial base and boosting our global competitiveness.The Commission therefore needs to make sure that all players in the space industry continue to have strong incentives to innovate".

Arianespace is the global leader for launches of commercial satellites to geostationary transfer orbits. Its main competitors are the US-based companies ILS and SpaceX. In addition, Arianespace has a de facto monopoly in the European markets for institutional launches. For its services, Arianespace uses launchers produced by three different companies, including the Ariane launcher manufactured by ASL.
ASL is a 50/50 joint venture controlled by Airbus and Safran. Airbus is also one of the leading satellite manufacturers worldwide. Both Airbus and ASL are manufacturers of payload adapters and dispensers, which are components sourced and used by launch service providers.
 
The Commission has concerns that the transaction might lead the merged entity to:

  •     discriminate against satellite manufacturers competing with Airbus on price or other terms regarding their access to Arianespace's launch services (slot allocation, access to technical information on launcher developments). This would reduce the incentives of Airbus' rivals to invest and innovate in satellite manufacturing. Moreover, aligning the incentives of Airbus, ASL and Arianespace might also lead to critical information about satellites or launch service competitors being shared between Arianespace and Airbus.
  •     give priority to launch services connected to Ariane launchers since ASL produces this launcher. This would be to the detriment of the competing launcher Vega, which is manufactured by ELV and currently can only be commercialised by Arianespace.
  •     procure payload adapters and dispensers exclusively from Airbus and ASL, regardless of the price and quality offered by competitors. This would be detrimental to these competitors. Overall, the Commission is at this stage concerned that the transaction might lead to higher prices, less customer choice and a reduction in research and development efforts in the satellite, launcher and launcher equipment and launch services markets.

 
 Bref, la commission ne veut pas d'une monopole européen intégré verticalement pour la fabrication et le lancement de satellite, qui aurait le pouvoir de racketer tous les autres acteurs de l'indsutrie.

Mais contrairement à ce que laissait suggérer le figolu, elle n'a pas interdit l'opération , pour l'instant.

 

Si on croit à la légitimité des lois anti-trusts, le schema fourni montre bien qu'il y a des embrouilles en perspective pour les acteurs non intégrés.

 

Dans l'article du figolu, ils s'offusquent de cette ingérence européenne qui s'oppose à la création d'un "grand acteur européen". Bien, sur s'ils étaient de l'autre côté du décor, en bon nationalistes, ils diraient exactement l'inverse.

 

D'un point de vue libéral, normalement, on ne devrait rien avoir à carrer de ce genre d'opérations. Mais l'ingérence historique des états européens, notamment la france,  dans le développement de l'industrie du spatial fait que cette opération n'est pas aussi naturelle qu'on pourrait le croire. Mais maintenant, le mal est fait. L'absence de fusion claire et nette n'empêchera pas ariannespace et l'ASL d'avoir des liens privilégiés.

 

Savoir ce qui est juste dans une telle situation, c'est au delà de mes capacités. Et de celles des demeurés nationaux socialistes du figaros.

 

P.S : Les parts qui permettraient à l'ASL d'obtenir le contrôle d'arianne espace viennent du CNES. Je me demande dans quelles conditions l'Etat français à décider de céder ces parts. Il ne serait nullement étonnant que dans la bonne tradition étatiste, ils vendent tout d'un bloc au premier copain venu, sans réelle considération pour rentabiliser l'investissement des contribuables.

 

P.P.S : Il est assez significatif que le centre spatial guyanais ne figure pas dans le schéma de la commission européenne. C'est pourtant une infrastructure crutiale dont le statut batard  (d'apres le site oueb du CSG, l'infrastructure est une propriété du CNES) n'aide clairement pas la concurrence dans le secteur ...

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Le Monde.fr - Les eurodéputés français se trompent souvent de vote au Parlement européen

Les eurodéputés français, FN en tête, sont les champions des corrections de vote au Parlement européen, qu’il s’agisse d’erreurs de vote ou d’affichage politique.

http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/03/07/les-eurodeputes-francais-se-trompent-souvent-de-vote-au-parlement-europeen_4877761_4355770.html

Melenchon et le FN champions des mensonges.

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P.S : Les parts qui permettraient à l'ASL d'obtenir le contrôle d'arianne espace viennent du CNES. Je me demande dans quelles conditions l'Etat français à décider de céder ces parts. Il ne serait nullement étonnant que dans la bonne tradition étatiste, ils vendent tout d'un bloc au premier copain venu, sans réelle considération pour rentabiliser l'investissement des contribuables.

Même si c'était rentable, le contribuable n'en verrait pas la couleur de toute façon.

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