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Syriza au dépouvoir en Grèce


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Sinon, ma timeline Facebook est envahie d'articles pro-grece, et ce depuis des semaines...

Retire quelques personnes de tes notifications! Mais c'est clair que ça me le fait aussi dès que quelqu'un me partage un article de presse française. Aujourd'hui j'ai eu droit à un article qui nous expliquait combien la Grèce est en fait vertueuse au niveau du budget parce qu'ils ont un excédent primaire. Ça serait même le pays le plus vertueux d'Europe!

 

Tu as trop de potes socialissss

Facebook à 2 c'est pas marrant!

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Quel ramassis de conneries : je n'ai jamais vu quelque chose qui est une durée de vie illimitée. Rien que sur ce principe là, l'article est donc basé sur une hypothèse complètement fausse.

Il est marqué:

 

"Il est réputé".

 

En gros on agit comme si il l'était.

Ce qui ne me semble pas absurde à moins d'avoir des signes comme quoi il va chuter, on prend nos décisions comme si il n'allait pas mourrir.

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Je n'ai jamais vu quelque chose qui est une durée de vie illimitée.

 

L'Etre.

 

Histoire de pas poster pour si peu, qui aurait des statistiques fiables sur les dépenses de l'Etat grec ces 5 ou 10 dernières années ? J'ai déjà trouvé cet article ( http://www.atlantico.fr/decryptage/grece-victime-austerite-pas-en-termes-depenses-publiques-en-tout-cas-nikos-tsafos-557400.html), qui montre que l'extrême-gauche anti-austérité est aussi en phase avec la réalité qu'à l'époque où elle niait le goulag ; j'aimerai compléter mes sources.

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sur le même site: http://data.lesechos.fr/pays-indicateur/grece/pib.html

le PNB est passé de 132My€ à 356My€ de 2001 à 2009... bizarre vous avez dit bizarre.

x2.7 (12% croissance)

Ce sont les chiffres du FMI.

Selon eux, le PIB de la Grèce (en milliards de dollars), a continuellement diminué sur la période 2009-2014 (de 356 milliards en 2009 à 242 milliards en 2014). Ce qui me paraît crédible, vu qu'il y a une récession.

Quelqu'un aurait les variations de la part du remboursement des intérêts de la dette dans les dépenses publiques totales ?

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Ce sont les chiffres du FMI.

Selon eux, le PIB de la Grèce (en milliards de dollars), a continuellement diminué sur la période 2009-2014 (de 356 milliards en 2009 à 242 milliards en 2014). Ce qui me paraît crédible, vu qu'il y a une récession.

Quelqu'un aurait les variations de la part du remboursement des intérêts de la dette dans les dépenses publiques totales ?

greece.png

 

En gros, la Grèce est revenue à l'état où elle devait être si elle n'avait pas bénéficié du coup de pied au cul de l'Euro. Evidemment, avec les conneries de Tsipras et de sa bande de charlots communistes, le risque est qu'elle va descendre bien plus bas que nécessaire...

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Quel ramassis de conneries : je n'ai jamais vu quelque chose qui est une durée de vie illimitée. Rien que sur ce principe là, l'article est donc basé sur une hypothèse complètement fausse.

On considère qu'une personne morale a une durée de vie infinie. C'est de manière générale, pas juste l'Etat.

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Je viens de découvrir ce passage de La Fin du Siècle des Ombres de J.-F. Revel, datant d'octobre 1993 : 

 

« [...] Pour la corruption et la dissipation, Athènes il est vrai n'a rien à envier à Paris, Madrid ou Rome. Mais ce qu'attend Papandréou de l'Europe, c'est qu'elle éponge les pertes d'une économie clientéliste qui, malgré les privatisations bien timide de la droite, reste pour 67% une économie d'Etat. Si indulgente soit la Commission pour les frasques de la "cohésion sociale", pourra-t-elle continuer à les tolérer, alors que la Grèce vient de se voir allouer, pour les cinq prochaines années, un pactole de 175 milliards de francs de subventions ? »

  • Yea 1
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En parlant de citation, récemment on entend souvent celle-ci de Edmond About (La Grèce contemporaine, 1854) :
"La Grèce est le seul exemple connu d’un pays vivant en pleine banqueroute depuis le jour de sa naissance. Si la France et l’Angleterre se trouvaient seulement une année dans cette situation, on verrait des catastrophes terribles : la Grèce a vécu plus de vingt ans en paix avec la banqueroute."

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Pour Martin Schultz, le président du parlement européen il n'y a que deux scénarios possibles ce soir :

 

- si c'est OUI, la Grèce restera dans l'euro mais  sera gérée obligatoirement par un gouvernement composé uniquement  de technocrates

 

http://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/grece-martin-schulz-veut-un-gouvernement-de-technocrates-pour-remplacer-syriza_1695818.html

 

- si c'est NON Tsipras est forcé d'introduire une nouvelle monnaie propre au pays, pour payer les salaires et les retraites.

 

 

Le président du Parlement européen Martin Schulz estime que la Grèce devra prendre une autre devise si le "non" l'emporte au référendum de dimanche sur le plan "argent frais contre réformes" proposé par ses créanciers.

"Est-ce que la Grèce est encore dans l'euro après ce référendum? C'est certainement le cas, mais, si elle dit "non", elle devra introduire une autre monnaie après le référendum parce que l'euro ne sera pas disponible comme moyen de paiement", a déclaré Martin Schulz à la Deutschlandfunk, la radio allemande.

"Au moment où quelqu'un introduit une nouvelle devise, il sort de la zone euro. Ce sont les éléments qui me donnent un certain espoir que les gens ne voteront pas "non" aujourd'hui", a ajouté le président du Parlement européen

 

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C'est l'avenir de l'UE qui se joue aujourd'hui, pas seulement celui de la Grèce.

 

Esperons que le "non" l'emporte.

 

Le oui aurait aussi l'avantage d'envoyer bouler tous les petits gauchistes qui hurlent au déni de démocratie de la part de l'Europe, et de foutre une claque aux  Podemos&Cie.

Le Non serait plus sage structrurellement, mais continuerait à leur donner du carburant, d'autant que lorsque le pays coulera, ce sera forcément encore la faute aux méchants capitalist'

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Le oui aurait aussi l'avantage d'envoyer bouler tous les petits gauchistes qui hurlent au déni de démocratie de la part de l'Europe, et de foutre une claque aux  Podemos&Cie.

Le Non serait plus sage structrurellement, mais continuerait à leur donner du carburant, d'autant que lorsque le pays coulera, ce sera forcément encore la faute aux méchants capitalist'

 

C'est la peste contre le rhume ton dilemme, c'est pas comme si les politicards ne trouvent pas toujours des excuses àlakon pour leur incompétence que ne croient que ceux qui veulent y croire.

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C'est la peste contre le rhume ton dilemme, c'est pas comme si les politicards ne trouvent pas toujours des excuses àlakon pour leur incompétence que ne croient que ceux qui veulent y croire.

 

C'est aussi du positivisme: même si le oui l'emporte, il y aura au moins un avantage sympathique. :D

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