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Ah, tiens, ça a l'air fun :D. Ca me fera réviser l'allemand (faudra qu'ils sortent un peu du diptyque Nazi/Stasi un jour, d'ailleurs).

Ca me fait penser qu'il faudra que je reregarde Iron Sky un jour :D.

 

Bon, j'ai vu Er ist wieder da. Ca se regarde bien mais il manque un petit quelque chose. Les scènes en monde réel suffisent à rentrer dans le film (et l'acteur est bon). Par contre, le côté téléfilm des scènes scriptées gâche un peu ; ainsi que certains moments d'humour pas drôle (aka. humour allemand).

La dernière scène a politiquement de trop gros sabots tandis que le reste passe plutôt bien.

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Je suis allé voir "Captain America : Civil War" et "Batman vs Superman" dernièrement. Je trouve les (gros) films de superhéros de plus en plus fades. Je pensais que c'était un sentiment très personnel, à cause de la comparaison systématique avec la profondeur / richesse des comics, mais en fait pas du tout. C'est un problème de génération ? de réalisation ? de licence qui s'essouffle ? de genre qui peine à se renouveler ? :jesaispo:

C'est vraiment décevant, puisque avec des sujets finalement assez proches, Watchmen qui n'a pas bénéficié de la même publicité s'en sortait 1000 fois mieux.

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Je n'ai pas lu les comics mais j'aurais pensé naïvement que Watchmen est juste mieux écrit, avec de vrais dialogues, une atmosphère plus adulte et pas trop de manichéisme.

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Je n'ai pas lu les comics mais j'aurais pensé naïvement que Watchmen est juste mieux écrit, avec de vrais dialogues, une atmosphère plus adulte et pas trop de manichéisme.

watchmen (le bouquin) ressemble assez au film, en beaucoup moins spectaculaire et avec énormément de rajouts sur des parties peu développables dans le film (le racisme d'un certain nombre de vieux superhéros, l'utilisation du comédien et de manhattan non comme protecteurs des citoyens mais comme armes de guerre, 

 

quant à dire que watchmen est manicheen avec une ambiance pas assez adulte, wtf.

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  • 2 weeks later...

Ce matin je suis allé voir Risen    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=230703.html

 

J'ai bien aimé, la question de la Ressurection vécue par les contemporains qui n'étaient pas les disciples est intéressante. L'image de Jésus ressuscité et des disciples est touchante et le film n'en fait pas trop. Dans le même registre EE Schmidt avait écrit un Évangile selon Pilate qui était très bien (la 2nd partie du livre, l'enquête). Le traitement de Schmidt est sans doute meilleur mais n'aurait sans doute pas aussi bien rendu à l'écran. Si vous avez l'occasion allez-y!

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J'ai eu un peu de temps libre tout en ayant des places de cinoche à écouler.

Du coup, je suis allé voir des films que n'aurais pas vu en temps normal.

 

"Ma Loute" est une farce lourdingue mettant le spectateur à rude épreuve tant le film est pénible à regarder, s'attardant sur les tares de personnages surréalistes. C'est cher payer les quelques grammes de finesse qu'on trouve néanmoins dans ce film. Je ne peux le conseiller qu'à ceux qui cherchent les expériences fortes.

 

"Cafe Society" le dernier Woody Allen. Les acteurs sont bons, ils s'amusent bien, on s'amuse aussi et puis après on oublie et on passe à autre chose. Et comme on a oublié, on ne remarquera pas à quel point le prochain Woody Allen ressemble au précédent.

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Woody Allen est un cinéaste trop productif. En gros, 1/3 de sa production est à garder (mais ce qu'on garde est vraiment bon, le reste est parfaitement oubliable).

  • Yea 2
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 Je viens de voir Zootopie. Verdict : c'est bien. 

 

 On pourrait trouver le parallèle avec notre racisme à nous un peu débile et gauchiste, mais au fond, c'est plutôt bien amené avec beaucoup d'auto-dérision. Donc ça passe. 

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Pourquoi il y a autant de politiques au Festival de Cannes

 

Entre les paillettes et les starlettes, il y a aussi des politiques sur la Croisette. Les stars internationales qui défilent sur le tapis rouge du festival de Cannes y croisent régulièrement des ministres et des élus montant les marches en tenue de soirée. Des images improbables dans les grandes cérémonies hollywoodiennes mais qui ne choquent personne ou presque en France où l'Etat et les collectivités locales demeurent les premiers mécènes de l'industrie cinématographique.

 

Autorité de tutelle du Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC), qui a cofinancé 55 films en lice dans les différentes compétitions du festival cette année, le ou la ministre de la Culture est logiquement présent(e) à chaque ouverture. Après Aurélie Filippetti et Fleur Pellerin, Audrey Azoulay a ainsi participé ce mercredi à son premier rendez-vous du 7e art le plus médiatisé de la planète. Il n'est d'ailleurs pas inédit que d'anciens hôtes de la rue de Valois, comme Jack Lang, Jacques Toubon ou Philippe Douste-Blazy, soient invités à y revenir, même une fois leur carrière ministérielle achevée.

 

Les régions de cinéma à la fête

 

Plus surprenant, l'ancien président de l'Ile-de-France, le socialiste Jean-Paul Huchon, a longtemps été un habitué des marches. Il faut dire que la région-capitale, dont le patrimoine exceptionnel accueille de très nombreux tournages, est aussi le deuxième banquier du cinéma français derrière l'Etat. En 2015, quatre films portant le sceau de la région étaient en compétition officielle et l'un d'entre eux, "Dheepan" de Jacques Audiard, avait décroché la palme d’or.

 

De quoi justifier la présence d'importantes délégations de la région sur la Croisette? En 2015, la présence de six élus et dix-sept agents avait coûté la bagatelle de 258.000 euros à la collectivité. Valérie Pécresse, la nouvelle présidente LR de la région francilienne, a donc décidé de réduire la voilure sans renoncer à faire le voyage à Cannes. "C’est important d’aller au Festival. La région finance des films et les tournages génèrent des emplois ici mais nous n'avons aucune raison de dépenser autant d’argent", plaide l'ancienne ministre du Budget qui a ramené sa délégation à trois élus et deux agents pour une enveloppe de 23.000 euros. Il faut dire qu'un seul film aidé par la Région ("Sierra Nevada", de Cristi Puiu) concourt cette année en compétition officielle.

 

Le président LR de Paca Christian Estrosi est également présent cette année pour défendre une des destinations favorites des cinéastes pour leurs tournages. La collectivité, qui finance une moyenne de 90 films par an, a soutenu le film Mal de pierres de Nicole Garcia en compétition officielle.

 

[...]

 

Un "festival d'Etat" aux origines anti-fascistes

 

Cette présence des politiques dans le temple du 7e art peut surprendre, elle n'en demeure pas moins qu'un lointain héritage des origines tumultueuses d'un festival créé pour contrecarrer la montée du fascisme. En 1938, alors que le cinéma s'impose comme le média culturel de masse, la sélection de la Mostra de Venise est perturbée par l'ingérence politique d'Adolf Hitler et de Benito Mussolini qui imposent le double sacre de Luciano Serra, pilote produit par le propre fils du Duce, et le célèbre documentaire de propagande nazi Les Dieux du Stade.

 

Le ministre de l'Éducation nationale et des Beaux-arts du Front populaire, Jean Zay, prend alors la décision d'imposer un autre festival international du cinéma, avec le soutien des Etats-Unis et de la Grande-Bretagne. Le lieu choisi est Cannes, notamment pour sa grande salle de projection et le président de la première édition, censée se tenir en juin 1939, n'est autre que l'inventeur du cinéma Louis Lumière. Avant même sa naissance, Cannes est un "festival d'Etat", comme le rappelle l'historien Olivier Loubes dans son livre "Cannes 1939, le festival qui n'a pas eu lieu". Mais la Seconde guerre mondiale entraîne l'annulation de l'événement dont l'inauguration est reportée au lendemain du conflit, en 1946.

 

Guerre froide oblige, le Festival restera longtemps influencé par le jeu diplomatique des nations. Il faut attendre 1972 pour que les films sélectionnés le soient par un comité professionnel et non plus par les Etats, qui envoyaient ainsi un message politique sur grand écran.

 

 

http://www.huffingtonpost.fr/2016/05/15/festival-de-cannes-2016-politiques-melenchon_n_9871332.html

 

 

 

Et sur Contrepoints  :P

 

cannes-660x463.jpg

 

 

 

 

https://www.contrepoints.org/2016/05/08/252049-les-francais-aiment-ils-le-festival-de-cannes

 

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Je vais me faire un ciné ce midi.

Je penchais plutôt pour Dalton Trumbo mais je vois que The Nice Guys a de bonnes critiques...

 

Je ne connais pas Dalton Trumbo. J'ai été voir The Nice Guys par défaut comme c’était le seul film (non francophone) en VO sans rien n'en attendre et ne sachant pas du tout ce que j'allais voir. J'ai apprécié l'ambiance Seventies, la bande son, le côté décalé mais je reconnais qu'il faut être bon client du genre pour apprécier. Je ne sais pas si l'amateur de thriller "pur" accrochera mais j'ai passé un bon moment pour ma part.

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Vu X-Men : Apocalypse : bon blockbuster, comme d'habitude.

Les personnages que l'on n'avait pas encore vu depuis le reboot (Jean Gray, Scott Summers, Diablo) amènent une nouveauté bienvenue.

 

J'ai vu passé une discussion sur le futur James Bond quelque part, et je me dis aussi que Fassbender, qui est encore une fois très bon dans X-Men, en ferait un excellent. 

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